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LES ODONYMES À TOURS-NORD

Les odonymes sont les noms propres désignant une voie de communication et l'odonymie en est l'étude.

Ni le code de la voirie routière, ni le code général des collectivités territoriales n’imposent aux communes l’obligation de procéder à la dénomination des rues, à l’exception de la ville de Paris qui, en la matière, est soumise aux dispositions de l’article R. 2512-6 du code général des collectivités territoriales. Aussi, la dénomination des voies communales relève de la compétence du conseil municipal qui, dans le cadre de ses attributions prévues par l’article L. 2121-29 du code général des collectivités territoriales, règle par ses délibérations les affaires de la commune. Il convient cependant de préciser que le décret n° 94-1112 du 19 décembre 1994 relatif à la communication au centre des impôts fonciers ou au bureau du cadastre de la liste alphabétique des voies de la commune et du numérotage des immeubles oblige, indirectement, les communes de plus de 2 000 habitants à établir la liste des voies publiques et privées, la notification de la désignation des voies étant devenue une formalité foncière.
La dénomination des rues est en principe portée à la connaissance du public au moyen d’inscriptions permanentes placées au croisement des rues, soit par des poteaux plantés aux carrefours, soit plus généralement par des plaques indicatrices fixées sur les immeubles à chaque extrémité de la voie. En l’absence de directives précises en ce domaine, les communes peuvent se référer utilement aux dispositions techniques applicables à la ville de Paris prévues aux articles R. 2512-6 à R. 2512-15 du code général des collectivités territoriales. Des dispositions desdits articles, il ressort que la fourniture, la pose, l’entretien et le renouvellement des plaques indicatives des voies ou places publiques sont effectués par les soins et à la charge de la commune. L’article R. 2512-6 précité dispose que « le maire fixe par arrêté les dimensions et le modèle des plaques portant indication des noms, des voies, places ou carrefours livrés à la circulation ainsi que les dimensions et la situation des emplacements que les propriétaires réservent sur leurs immeubles sans qu’il y ait lieu pour eux à une indemnité ». Il ne ressort pas des textes que le maire ait obligation d’obtenir l’accord du propriétaire pour apposer de telles plaques.

Historique des odonymes à Tours Saint-Symphorien

 

Président Coty : Président de la République française (1954-1958) : 2d et dernier président de la IVème République (poste honorifique). En 1958, il a nommé De gaulle Président du Conseil alors que la guerre d’Algérie met en péril la France. Coty cède à la volonté de De Gaulle de créer une nouvelle constitution de la Vème République. En octobre 1958 De Gaulle est élu et Coty lui laisse sa place en janvier 1959. Coty meure d’une crise cardiaque en 1962. Autrefois rue Carnot, non confirmé par la délibération municipale du 11/11/1904. Délibération du 06/07/1964 – St Symphorien


Rue Franois Hardouin : Membre du Conseil municipal de St Symphorien (1884 – 1921)


Rue de Vildé : 1er adjoint au maire de la commune de St Symphorien de 1900 à 1921


Rue Joseph du Tremblay : De la rue du Nouveau-Calvaire à l’avenue Maginot. Cette rue porte le nom du 5ème maire de la commune de St Symphorien, il succédait au représentant d’une vieille famille de St Symphorien, les Palustre (maire à partir de 1824). François Leclerc du Tremblay, dit le Père JOSEPH (1577 – 1638.  Capucin, l’une des grandes figures de l’École française de spiritualité, le Père Joseph est surtout connu pour son rôle de conseiller diplomatique auprès de Richelieu : pour lui fut inventée l’appellation, entrée dans le langage commun, d’« Éminence grise ». De la rue de Verdun à la rue du Pas Notre Dame.  Mentionnée en 1905, cette rue se rattache à travers Joseph du Tremblay au passé de St Symphorien. Le père Joseph du Tremblay (1577-1638), surnommé « l’éminence grise » de Richelieu, fut le père supérieur du couvent des Capucins construit dans l’impasse du Nouveau calvaire.


Avenue du Général Estienne : Jean Estienne, né le 7 novembre 1860 à Condé-en-Barrois dans la Meuse et mort le 2 avril 1936 à Paris, est un militaire, artilleur et ingénieur militaire français. Il a eu en France une influence importante dans le développement de l'artillerie moderne et de l'aviation militaire. Il reste surtout connu comme l'homme qui a créé une arme blindée en France — ce qui lui a valu le surnom de « Père des chars » en 1916 — qu'il appelait « artillerie d'assaut » durant la Première Guerre mondiale. Il inventa aussi le goniomètre à collimateur, instrument pour mesurer  les angles. L’avenue est percée dans les terrains du « Clos Moreau ». Délibération du 28/03/1966 – St Symphorien


Rue Jacques Decour : Jacques Decour, nom de résistant de Daniel Decourdemanche, est un écrivain et résistant français, né le 21 février 1910 à Paris, mort pour la France fusillé par les nazis le 30 mai 1942 (à 32 ans) au fort du Mont-Valérien


Rue Henry IV : Henri IV, surnommé Henri le Grand 3, né Henri de Bourbon le 13 décembre 1534 à Pau et assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre (Henri III de Navarre, 1572-1610) puis roi de France et de Navarre (1589-1610), premier souverain de la branche dite de Bourbon de la dynastie capétienne. Autrefois rue d’Orléans. Délibération du 28/03/1966 – St Symphorien
Impasse Henri VI : elle constitue un tronçon de la rue Ronsard. Autrefois Rue d’Orléans, elle a pris sa dénomination actuelle en 1978. Henri IV (1553-1610) né à Pau, roi de Navarre en 1572, est devenu roi de France en 1589. Il fut l’hôte de la Touraine dès 1589. Réconcilié avec Henri III devant le danger des ligueurs, il intervient dans la bataille qui opposa sur le plateau de St Symphorien, le roi de France au Duc de Mayenne ; le renfort apporté par les troupes de Navarre assura la victoire d’Henri III.


Rue Pierre Vallence : Architecte et ingénieur du XVIème siècle. Il fut chargé par Jacques de Beaune de la construction de la fontaine du même nom. On sait peu de choses sur sa naissance. Il est mort à Tours en juillet 1518. En 1500, il avait le titre d’architecte du chapitre de Tours. Il dirigea en même temps que les travaux de la cathédrale de Tours, la captation des sources de St avertin pour alimenter les fontaines de la ville. Son fils ainé Germain lui succéda dans la maîtrise de fontainier du Roi et de la ville de Tours. Délibération du 26/02/1968 – St Symphorien


Rue Auguste Renoir : Pierre-Auguste Renoir dit Auguste Renoir, né à Limoges le 25 février 1841 et mort au domaine des Collettes à Cagnes-sur-Mer le 3 décembre 1919, est l'un des plus célèbres peintres français. Délibération du 25/04/1964 – St Symphorien


Rue de Jemmapes : La bataille de Jemappes (ou Jemmapes) a eu lieu à Jemappes près de Mons en Belgique entre l'Autriche et la France le 6 novembre 1792. L'armée révolutionnaire française, constituée de 40 000 volontaires et commandée par Dumouriez remporte la victoire, notamment grâce à son avantage numérique, contre l'armée autrichienne aux Pays-Bas autrichiens sous les ordres du duc Albert de Saxe-Teschen, qui doit évacuer le pays. Jemmapes est une commune de Belgique, province du Hainaut. Le foyer du Beffroi se trouve au cœur du quartier de l’Europe. Délibération du 27/11/1967 – St Symphorien


Rue du Général Ferrié : Gustave Auguste Ferrié, né le 19 novembre 1868 à Saint-Michel-de-Maurienne (Savoie) et mort le 16 février 1932 à Paris 5e, est un ingénieur et général français, pionnier de la radiodiffusion. Savant français qui réalisa un puissant réseau militaire de télégraphie sans fil. Sous sa direction de puissants émetteurs furent construits à St Pierre des Corps qui sautèrent en 1944. C’est grâce à lui que l’ordre du « Cessez le feu » fut rapidement diffusé sur le front le 11/11/1918. Délibération du 24/10/1966 – St Symphorien


Rue de l'Abbé Noël Bizien : Rue aménagée depuis 1964. Noël Fernand Bizien (1913-1944) né à Brest, est venu à Tours en 1941 ; entré dans la résistance, il fut arrêté par la gestapo en 1944 et fusillé sur l’aérodrome de St Symphorien le 9/08/1944 avec  9 de ses camarades de réseau. Il faisait parti du réseau Marco Polo. Malgré les tortures, il n’a rien révélé au sujet de ses compagnons. Délibération du 10/07/1967 – St Symphorien


Avenue André Maginot : André Louis René Maginot, né à Paris 9e le 17 février 1871 et mort à Paris le 7 janvier 1932, est un homme politique français connu notamment pour avoir permis la construction de la ligne de fortification sur la frontière Nord – Est dite « Ligne Maginot » pendant la 1ère guerre mondiale. Construite à partir de 1927, elle devait empêcher toute invasion. C’est lui qui alluma la flamme sur la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe. En 1922, il vint à Tours inaugurer le congrès des mutilés d’Indre et Loire. Vice Président du Conseil Général de la Meuse et député de Bar le Duc. Nommé ministre de la guerre en 1920 dans le cabinet de Poincaré André Maginot a été président de la Fédération française d'escrime de 1919 à 1932. Autrefois RN10, puis appelée avenue de Paris. Délibération du 11/11/1904 – St Symphorien.  Au N°90 se trouve l’Espace Gentiana, centre culturel de Tours-Nord. Délibération du 18/01/1940 – St Symphorien


Allée Henri Matrais : Maire de St Symphorien de 1810 à 1816. Délibération du 26/02/1968 – St Symphorien


Allée Jean Assolant : Jean Assollant ou Bernache-Assollant (26 septembre 1905 - 7 mai 1942) est un aviateur français. Comptant parmi les pionniers de l’aviation, il est célèbre pour sa participation comme pilote au vol de l’Oiseau Canari en 1929, marquant la première traversée française de l’Atlantique Nord.
Né à Versailles en 1905. Décédé à Diégo-Suarez en 1942.  Il disparut au cours d’une mission aérienne  au - dessus de Diégo-Suarez en 1942. Assolant et Loti se rendant au meeting aérien d’Angoulême et de Mont de Marsan, atterrirent à Tours – St Symphorien le 12/07/1930, le temps de réparer une avarie à leur appareil. Voie desservant le groupe d’habitations de l’armée de l’air. Délibération du 06/07/1964 – St Symphorien.


Rue Daniel Mayer : Né le 2 mai 1909 à Paris 12e et mort le 29 décembre 1996 à Orsay, est un homme politique socialiste français, membre de la Résistance


Rue des Bordiers : Un fossé bordier sépare une terre ou une propriété d’une route ou d’un grand chemin, ou bien marque la limite entre 2 propriétés. La rue des Bordiers sépare St Cyr de Tours – St Symphorien sur une grande partie de son parcours. Non conservé par la délibération municipale du 11/11/1904 – St Symphorien.


Rue de la Chevalerie : Ancien fief de Marmoutier. Autrefois chemin des Bordes. Commune de St Symphorien. Délibération du 08/06/1963


Rue de la Fosse Marine : Lieu-Dit. Délibération du 04/03/1891 – St Symphorien (ancienne carrière argileuse pour fabrication de poteries ? Dires d’une habitante ?)


Rue Paul Gauguin : Né le 7 juin 1848 à Paris — mort le 8 mai 1903, à Atuona, Hiva Oa, îles Marquises. C’est un peintre postimpressionniste. Chef de file de l'École de Pont-Aven et inspirateur des nabis, il est considéré comme l'un des peintres français majeurs du XIXe siècle, et l'un des plus importants précurseurs de l'art moderne avec Munch et Cézanne. Délibération du 25/04/1964 – St Symphorien


Rue du Pavillon : Pavillon ou pressoir, était un village qui dépendait de Marmoutier dont la rue à conserver le nom.


Rue Claude Marot : Né à Cahors en 1496 et mort le 12 septembre 1544 à Turin, est un poète français. Bien qu'encore marqué par l'héritage médiéval, Clément Marot est l'un des premiers grands poètes français modernes. Précurseur de la Pléiade, il fut valet de chambre et le poète officiel de la cour de François Ier. Malgré la protection de Marguerite de Navarre (dont il était le page), sœur du roi de France François Ier, ses sympathies marquées pour la Réforme et pour Luther lui ont cependant valu la prison puis l'exil en Suisse et en Italie. Délibération du 05/07/1971 – St Symphorien


Rue Fontaine Pottier : Bienfaiteur de St Symphorien qui a légué en 1933 la Grand Sapaillé. Le produit de la vente, placé en rente par l’Etat, servait à doter annuellement une jeune fille.


Avenue de la République : En hommage à la III ème République (de sept 1870 à juillet 1940). Délibération du 11/11/1904 – St Symphorien


Rue Saint-Barthélémy : Le massacre de la Saint-Barthélemy est le massacre de protestants déclenché à Paris, le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy, prolongé pendant plusieurs jours dans la capitale, puis étendu à plus d'une vingtaine de villes de province durant les semaines suivantes. Au N°33 se trouve le cimetière La Salle qui a remplacé les anciens cimetières intra-muros. Délibération du 04/09/1896 – St Symphorien


Impasse et rue de la Source : Autrefois rue jean Mermoz lorsqu’elle appartenait à St Symphorien. Lieu-Dit, nom d’une propriété occupée de 1905 à 1945 par les sœurs de Notre-Dame de Charité du Refuge. Déclaration du 06/07/1964 – St Symphorien.


Rue Ernest Huard : Ernest Huard légua à la commune de St Symphorien des immeubles avenue de la Tranchée. Délibération du 28/09/1957


Rue Groison : De la rue de la Source à la rue Losserand. La rue Creuse fut la 1ère voie creusée dans la falaise pour relier le val au plateau ; elle suivait la vallée d’un petit ruisseau, le Groison. Ce ruisseau contournait une propriété du même nom. Ce nom, déformé en Groison est devenu celui de cette rue en 1832. Cette ancienne rue donnait accès au pont roman du XIe siècle. Nom provenant d’une source nommée Grainoison. Au XVIème siècle, ce domaine appartenait à Jean Briçonnet. Autrefois une petite partie de cette rue se nommait rue E Palustre. Elle s’appelait rue Creuse en 1644. Au N°8 se trouvait la clinique St Grégoire ou mourut Charles Maurras. Le nom fut confirmé par délibération du 04/09/1896 – St Symphorien. Délibération du 10//11/1832.


Rue de Trianon : Très vieille rue de Saint-Symphorien, prolongée en 1904. C’était une closerie que les sœurs de Saint-Martin de Bourgueil ont aménagée en maison de santé et dans laquelle le professeur Guillaume Louis fonda la clinique Velpeau. Dénommée par la délibération municipale de Saint-Symphorien du 04/09/1896. Délibération du 24/02/1975 – St Symphorien


Rue du Pont Volant : De l’allée St Barthélémy au Bd Maréchal juin. Cette nouvelle rue rappelle l’existence d’une passerelle qui franchissait autrefois le carrefour de St Barthélémy en permettant de circuler de part et d’autre du plateau. Ce pont de construction élémentaire s’est effondré.
Suite de pontons mobiles que l’on manoeuvrait avec un câble. Au N°29 se trouve l’IUT. La rue fut prolongée le 05/10/1963 – St Symphorien


Rue du Pas Notre Dame : De la rue du Nouveau Calvaire au carrefour de la Marne.  Le Pas Notre Dame était un fief dépendant de l’abbaye de Marmoutier. Avant 1789, les notables du Pas Notre Dame se réunissaient dans une maison commune située dans cette voie ; en 1821, la commune de St Symphorien, qui était née avec la Révolution, fit construire la mairie du Pas Notre Dame. Le maire Chabin en fut le 1er utilisateur. Nom du lieu-Dit relevant de Marmoutier. Délibération du 04/09/1896. Impasse du Pas Notre Dame Délibération du 23/10/1967 – St Symphorien

Rue des Patureaux : Nom d’un lieu-dit qui signifie Pâturages clos. Il relevait du fief de Beaumont les Tours. Délibération du 31/05/1965


Rue de l'Oratoire : Dénommée ainsi en l’honneur des prêtres de l’Oratoire établis sous Louis XIII. Autrefois rue St Martin. Chapelle fondée par St Martin lui-même. L’oratoire reconstruit quelques siècles plus tard fut placé sous le vocable de St Barthélémy. Délibération du 06/07/1964 – Saint-Symphorien

 

Rue Frédéric Chopin : Compositeur et pianiste virtuose d'ascendance franco-polonaise, né en 1810 à Żelazowa Wola et mort à Paris en 1849. Autrefois entre la rue du Colombier et la rue de l’Anguille. Délibération du 06/07/1964


Avenue de la Tranchée : De la place de la Tranchée à la place Choiseul. La route de Paris vers l’Espagne se déplace d’Amboise à Tours avec le début des travaux de percement de la Tranchée. C’est une seconde rue Creuse plus large, qui entaille le revers du plateau de St Cyr-St Symphorien dans l’axe du nouveau pont dont la 1ère pierre a été posée en 1755. Cette voie n’était pas complètement terminée à la veille de la Révolution malgré les efforts de du Cluzel, l’intendant de Touraine. Avenue taillée dans le coteau de St Symphorien à partir de 1757. Tracée en ligne droite, elle a permis à la RN10 de joindre le Pont de Pierre. Tout le terrain s’étendant entre le plateau et la Loire correspondant à un domaine Gallo-Romain du nom de Beauciscus ; autrefois rampe de la Tranchée. Délibération du 04/09/1896 – St Symphorien.


Rue Robert Pinguet : Romancier et dramaturge français d'origine suisse, né le 19 juillet 1919 à Genève et mort le 25 août 1997 à Tours


Rue Clément Marot : Né à Cahors en 1496 et mort le 12 septembre 1544 à Turin. Poète français. Bien qu'encore marqué par l'héritage médiéval, Clément Marot est l'un des premiers grands poètes français modernes


Rue de Verdun : La bataille de Verdun est une bataille qui eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916 dans la région de Verdun en Lorraine, durant la Première Guerre mondiale. Elle oppose les armées française et allemande.


Rue des Ormeaux : Un ormeau est un jeune orme dont le bois était utilisé par les charrons, les carrossiers, et pour la fabrication des crosses de fusils. Délibération du 25/03/1968 – St Symphorien


Rue Jean-Gabriel Goulinat : Né à tours, le 09/02/1883, où son père était directeur d’école. Mort à Paris le 20/07/1972, JG Goulinat fut un peintre tourangeau, membre de la société des artistes français. Il a fait ses études au lycée Descartes, tout en suivant les cours de l’école des Beaux-Arts. A partir de 1935, il fut le chef d’atelier de restauration des peintes du Louvres. Délibération du 23/05/1977


Rue Pinguet Guindon : Famille célèbre de St Symphorien. Henri Pinguet-Guindon fut maire de cette commune jusqu’en 1927. Eugène, né et mort à St Symphorien (1859-1930), pépiniériste, épousa la fille de Jules Guindon, horticulteur.


Rue Georges de la Tour : Peintre lorrain, baptisé le 14 mars 1593 à Vic-sur-Seille et mort le 30 janvier 1652 à Lunéville


Rue Henri Matisse : Henri Matisse né le 31 décembre 1869 au Cateau-Cambrésis et mort le 3 novembre 1954 à Nice, est un peintre, dessinateur, graveur et sculpteur français. Autrefois impasse E Roux. Délibération du 25/04/1964 – St Symphorien


Rue Lossserand : De la place Paul Bert à la rue Groison. C’est une des plus anciennes rues de St Symphorien ; la rue du Faubourg St Symphorien communiquait directement avec les quais de la Loire avant la construction de la levée au XVIIIe siècle. Sauf pendant l’intermède de la Révolution, elle conserva son nom jusqu’en 1901, date à laquelle une municipalité socialiste lui donna le nom de Sigismond Losserand. Sigismond Losserand (1846-1888) était un ouvrier désigné comme chef du parti socialiste tourangeau. Deux fois conseiller municipal à Tours, il y a fondé en 1880 le 1er syndicat ouvrier du livre. La rue Losserand était le siège de manufactures de soie alimentées en matière première par la navigation de la Loire.
Ancienne voie romaine. Autrefois rue St Symphorien, rue du Faubourg St Symphorien, rue Phorrien sous la Révolution puis Faubourg de la République. Délibération du 09/08/1901


Rue Raymond Poincaré : né le 20 août 1860 à Bar-le-Duc et mort le 15 octobre 1934, rue Marbeau, dans le 16ᵉ arrondissement de Paris, Raymond Poincaré est un homme d'État français. Il est le 10ᵉ président de la République française du 18 février 1913 au 18 février 1920 après avoir été député de la Meuse en 1887. Il se révéla un orateur politique de talent. Ministre des finances puis de l’instruction publique, Poincaré vint à Tours lors des grandes manœuvres de l’Ouest en 1912 en compagnie du Président Armand Fallières, de Joffre et du Grand Duc Nicolas de Russie. Jusqu’au rattachement de la commune de St Symphorien, cette voie s’appelait rue Léon Gambetta. Non confirmé par Délibération du 11/11/1904 – St Symphorien. Délibération du 06/07/1964 – St Symphorien.


Rue Félix Nadar : Nadar, pseudonyme de Gaspard-Félix Tournachon, est un caricaturiste, écrivain, aéronaute et photographe français, né le 5 avril 1820 ou le 6 avril 1820 à Paris et mort le 20 mars 1910 dans la même ville. Félix Tournachon, alias NADAR était philosophe et dessinateur. Il réalisa les premières photographies aériennes en ballon. Délibération du 24/02/1986


Rue Maximilien Kolbe : Rajmund Kolbe, en français Maximilien Marie Kolbe, né le 7 janvier 1894 à Zduńska Wola en Pologne et mort par injection de phénol au camp de concentration d'Auschwitz le 14 août 1941, est un frère franciscain conventuel polonais, qui s'est offert de mourir à la place d'un père de famille dans le camp de concentration nazi à Auschwitz. Religieux polonais de l’ordre de St François. Il fut canonisé par le Pape Jen-Paul II en présence de l’homme à qui il avait sauvé la vie. Délibération du 12/11/1984


Rue Jean-Baptiste Dupré : Cette rue dénommée le 6 juillet 1964 a reçu le nom de JB Dupré, né à Tours, organiste à la collégiale St Martin. Il a composé en 1786, la musique d’un opéra en 2 actes Apollon et Cyrène dont l’auteur était le futur maire  Bruley, alors président trésorier de France. Délibération du 31/05/1965


Rue Henri Farman : Ingénieur et industriel français d’origine anglaise, né et mort à Paris (1874-1958). Il fut recordman du monde de vitesse et remporta le grand prix du 1er meeting d’aviation. En 1908, il remporta le prix du km en circuit fermé en avion. Autrefois rue Nungesser et Coli. Délibération du 06/07/1964


Quai Paul Bert : De la place Choiseul au quai de Marmoutier. La levée crée au XVIIIème siècle s’appela quai de la République en 1803, puis levée de St Symphorien en 1843 ; elle vit disparaître le nom de ce saint trop peu laïque en 1905 ; la municipalité lui substitua le nom de Paul-Bert. Paul-Bert (1833-1886), psychologue, radical laïque, fut un des grands serviteurs de la 3e république ; Il fut ministre de l’éducation nationale et défendit la politique de colonisation ; il fut gouverneur général de l’Annam et du Tonkin.

Rue Faraday : Michael Faraday FRS (Newington dans le Surrey, 22 septembre 1791 - Hampton Court, 25 août 1867) est un physicien et un chimiste britannique, connu pour ses travaux fondamentaux dans le domaine de l'électromagnétisme, l’électrochimie, le diamagnétisme, et l'électrolyse. Il fut l’inventeur de la dynamo. On lui doit la théorie de l’influence de l’électrostatique. Il fut membre de l’académie des sciences de Paris. Délibération du 20/10/1969 – St Symphorien (la cage de Faraday)


Rue de l'Anguille : Nom donné à un fief situé sur l’ancienne commune de St Symphorien, et appelée aujourd’hui la Martinière.


Rue Pierre de Ronsard : Pierre de Ronsard (né en septembre 1524note 1 au château de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois et mort le 27 décembre 1585 au Prieuré de Saint-Cosme en Touraine1), est un des poètes français les plus importants du XVIe siècle. Le buste de Ronsard se trouve dans le jardin des Prébendes. Délibération du 05/10/1963 – St Symphorien


Rue du Chaudron : Autrefois rue de Belle-Ile. Très vieille rue portant le nom du lieu-dit. Elle a été prolongée en fév 1964 par l’adjonction de la rue de Belle – Ile. Il est possible que le nom fasse allusion au chaudron de soupe distribuée aux pauvres par les moines de Marmoutier.


Avenue de Champs Chardon : Lieu-Dit, ancienne propriété de Marmoutier. Cette voie a été créée pour desservir la résidence du même nom. Délibération du 31/05/1965


Rue du Vercors : Le massif du Vercors est un massif montagneux des Préalpes, à cheval sur les départements français de l'Isère et de la Drôme, culminant à 2 341 mètres d'altitude au Grand Veymont.
Les maquisards du Vercors immobilisèrent 27 000 allemands qui voulaient défendre les côtes méditerranéennes. Délibération du 23/10/1967 – St Symphorien

Rue du Mont Cassin : Le Mont Cassin est une colline culminant à 516 mètres d'altitude située en Italie, dans la commune de Cassino, à l'ouest du village, dans la province de Frosinone et la région du Latium.
St Benoît y fonda au VIème siècle un célèbre monastère qui devint un poste important de la défense allemande pendant la seconde guerre mondiale mais il fut bombardé par les américains en 1944. C’est à l’attaque du « Mont Cassin » que fut tué le lieutenant Pierre Bochin, agent de liaison né à St Cyr en 1921. Délibération du 05/10/1963 – St Symphorien


Rue Nicolas Dorbelles : Né à Tours, auteurs de plusieurs ouvrages sur des traités de mathématiques. On a de lui un abrégé de théologie et un traité de la science des mathématiques. N Dorbelles faisait parti de l’ordre des frères mineurs de la province de Tours.  Délibération du 31/05/1965


Rue Saint-Éxupéry : Antoine de Saint-Exupéry, né le 29 juin 1900 à Lyon et disparu en vol le 31 juillet 1944 en mer, au large de Marseille, mort pour la France, est un écrivain, poète, aviateur et reporter français


Rue du Bocage : Nom de l’ancienne propriété située au N°21. Ce mot désigne aussi habituellement un petit bois, un lieu-dit agréablement ombragé. Délibération du 04/09/1896 – St Symphorien.


Rue Jeanne d'Arc : De l’avenue Maginot à la place du Président Coty. En 1964, la « Place J D’Arc » à Tours prend le nom de la place de la Cathédrale ; devenu disponible, le nom de Jeanne d’Arc est donné à une rue de St Symphorien.  Jeanne D’Arc (1412-1431), de passage à Tours en 1429, y reçut son armure commandée par Charles VII à un artisan de la ville et son oriflamme brodé dans l’atelier d’Heulves Plonoir sur une toile dite « boucassin ». Venue de la Lorraine, elle dut traverser le faubourg de St Symphorien pour accéder au pont roman qui était le seul accès à Tours.


Rue Ernestre Palustre : De l’avenue de la Tranchée à la rue Groison. C’est une des rues de l’ancienne commune de St Symphorien qui a conservé son nom. Ernest Pallustre (1819-1889), caissier à la Banque de France, fut maire de St Symphorien de 1848 à 1849. Son frère Léon, avocat, fut président honoraire de la Société Française d’Archéologie.

Rue de la Croix Montoire : Le domaine a porté les noms de : La Croix Montoire (XVIIIe siècle, Archives départementales), Croix Montoir (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Croix Montoire (1813, cadastre de Saint-Symphorien), La Croix-Montoire (XXe siècle, carte IGN). Il faisait partie de la commune de Saint-Symphorien. Jadis, il relevait du fief de Bezay. Au XIXe siècle, il a appartenu à la famille Petit de Vauzelles. En 1922, le château devint un sanatorium pour femmes. Lieu-dit, fief relevant de la Baronnie de Châteauneuf, non confirmé par la délibération du 04/09/1896 – St Symphorien


Rue du Moulin à Vent : La présence d’un moulin à vent sur cette hauteur, à la limite de Tours et de St Cyr, doit être à l’origine du nom de cette rue. Délibération du 11/11/1910


Rue du Bois Fleuri : Nom d’un lieu-Dit. Délibération du 11/11/1904 – St Symphorien


Rue du Président Kennedy : John « Jack » Fitzgerald Kennedy, souvent désigné par ses initiales JFK, né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et mort assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas), est le 35e président des États-Unis. Entré en fonction le 20 janvier 1961, il est la plus jeune personne élue à ce poste. Il est aussi le plus jeune à mourir en cours de mandat, tué moins de trois ans après son entrée à la Maison-Blanche. Il reste à ce jour le seul président américain de confession catholique


Avenue Marc Chagall : Marc Chagall, né Moïche Zakharovitch Chagalov, est un peintre et graveur né le 7 juillet 1887 à Liozna, près de Vitebsk, en Biélorussie, naturalisé français en 1937 et mort le 28 mars 1985 à Saint-Paul de Vence


Avenue de la Plauderie : Nom d’une propriété de St Symphorien. Délibération du 29/11/1962


Place Choiseul : Elle dessert les quais Paul Bert et du Portillon, l’avenue de la Tranchée et le Pont Wilson. Place de la Constitution sous la Révolution, puis place Daine en 1804 (nom du dernier intendant de Touraine), elle reçoit le nom de Choiseul en 1843. Choiseul (1719-1785-Comte de Chanteloup), ministre de Louis XV soutenu par Mme de Pompadour, secrétaire d’Etat à la guerre, acquit à la France la Lorraine (1766) et la Corse (1768). Choiseul, considéré comme trop réformateur, fut exilé à Chanteloup en 1770. Les pavillons de pierre qui sont situés sur la place servaient de logement au receveur et aux employés de l’octroi. La place fut aménagée en 1960, à la suite des destructions de la guerre.


Rue de l'Ermitage : De la rue du Nouveau calvaire à la rue Alexandre. Elle s’appelait auparavant rue du Vieux Calvaire. Le calvaire était un lieu - dit de la commune de St Symphorien. La rue du Vieux Calvaire parallèle à la Loire était avec la rue du Faubourg St Symphorien (rue Losserand) la voie la plus ancienne de la rive droite de la Loire ; elle desservait Marmoutier à l’est et rejoignant à l’ouest la rue Creuse qui montait sur le plateau. Elle perdit cette dernière fonction primordiale avec l’ouverture de l’avenue de la Tranchée et la construction du nouveau pont au XVIIIè siècle. Baptisée en 1964, rue de l’ermitage, nom emprunté à une propriété qui la dominait, elle est aujourd’hui une rue secondaire dont l’aspect atteste de la physionomie du passé. Les habitations de la rue de l’Ermitage ont des jardins en paliers qui s’accrochent au coteau et évoquent l’ancienne falaise qui dominait au nord, la vallée de la Loire.


Avenue de la salle : De la rue du pas Notre dame à la rue St Barthélémy. La Salle est un lieu-dit de la commune de St Symphorien ; il vient d’un ancien fief dépendant de l’abbaye de Marmoutier. En 1846, la municipalité de Tours envisagea, sans résultat, de faire l’acquisition d’un terrain sur cet emplacement pour y créer un cimetière ; le projet fut réalisé en 1856 car les inhumations dans les terrains humides de Tours étaient malsaines. Le cimetière la Salle appartenait  dès cette date à la commune de Tours. St Symphorien avait son propre cimetière un peu à l’ouest du précédent.


Boulevard du Maréchal Juin : Du Pont Mirabeau au carrefour de la Marne. Cette grande artère a été ouverte en avril 1974. Alphonse Juin (1888-1967) assura le commandement des forces françaises en Italie (1943-1944). De 1947 à 1951, il fut résident Général au Maroc ; puis il exerça la fonction de commandant en chef des forces atlantiques du secteur centre Europe de 1953 à 1956. Membre de l’Académie française, il reçut la dignité de Maréchal de France en 1952. Le BD Maréchal Juin est qualifié de « voie triomphale » ; il fournit un accès rapide au centre de Tours à la nationale 10 en direction de Paris ; il débouche au carrefour de la marne situé pratiquement à l’extrémité de l’agglomération tourangelle. L’amorce du BD à la sortie du pont Mirabeau se présente comme une tranchée limitée par 2 murailles taillées dans le calcaire du plateau de St Symphorien ; elles sont réunies par une sorte de « pont volant » à claire-voie qui assure leur stabilité. C’est la réplique moderne de la rue Creuse et du « pont volant » qui donnaient primitivement accès à la surface du plateau.


Rue du nouveau Calvaire : De la place Paul-Bert à la rue Vildé. L’ancienne impasse aménagée en rue conserva son nom de « Nouveau calvaire » en 1925. En 1618, le Père Joseph du Tremblay créa en ce lieu le monastère des Filles du Calvaire, bénédictines, chargées du soin des malades. En 1876, le député Wilson proposait de créer dans cette rue une école normale de filles ; le projet fut adopté en 1885. C’est dans la cour de cet établissement que la Gestapo fusilla 2 résistants en 1944, Lucien Venisse étudiant en médecine et Jacques Laurent médecin d’aviation. Le sculpteur Delperier habita cette rue.


Rue du Passeur : De la rue de Beausite à la rue du pont Volant. Elle évoque par son nom l’ancien bac qui reliait les rives de la Loire en aval du pont roman détruit au XVIIIème siècle et en amont du nouveau pont Wilson.


Rue de la Pierre : De l’avenue Maginot à la rue Groison. Cette rue ouverte dans l’ancienne commune tire son nom d’un ancien hameau du plateau campagnard de St Symphorien. Dans l’annuaire de la commune, Guinard fait remonter l’origine de ce nom à la construction du couvent des Capucins au début du XVIIème siècle ; « les habitants de Rochecorbon  fournirent et approchèrent la pierre », écrit-il. Tire son nom d’un ancien hameau du plateau de St Symphorien. Au N°8 se tient le centre médico-Psycho-Pédagogique. Délibération du 11/11/1904


Rue du Réservoir : De la rue Etienne Pallustre à la rue Raymond Poincaré. Cette rue située près de la Source du Groison se trouvait en bordure des réservoirs d’eau de St Symphorien.


Rue du vieux pont : De la rue Losserand au quai Paul-Bert. Ouverte en 1833 pour relier la rue de St Symphorien », la plus ancienne de la commune, à la levée de la Loire, elle doit son nom à son implantation. Elle se trouve face à l’emplacement du 1er pont de Tours, le pont roman, construit par Eudes II de Blois, avec l’accord des Plantagenêt au milieu du XIème siècle.


Rue Léon Gaumont : Léon Gaumont est un inventeur et industriel français, pionnier de l'industrie du cinéma, né le 10 mai 1864 à Paris, mort le 9 août 1946 à Sainte-Maxime


Rue de belle Isle : Lieu-Dit, nom d’une propriété située  au 47 rue du Chaudron. Autrefois chemin vicinal n°3, dit de Belle-Isle, qui fut classé par délibération du 26/11/1868 – Ste Radegonde. Délibération du 05/04/1937 – St Symphorien.


Rue des Douets : Lieu-Dit, ancien village de St Symphorien qui dépendait du fief de Sapaillé. On y trouve la bibliothèque centrale de prêt d’Indre et Loire. Ancien chemin vicinal N°7 de St Symphorien. Délibération du 24/04/1967


Allée des Vergers d'Antan : Délibération du 17/10/1994

Rue Valentin Haüy : Valentin Haüy (se prononce A-U-I), né le13 novembre 1745 à Saint-Just-en-Chaussée et mort le 19 mars 1822 à Paris, frère du minéralogiste René Just Haüy, est un pédagogue ; il fut l'un des premiers à s'intéresser au devenir socio-culturel des aveugles. Il fonda à Paris la première école pour aveugles, devenue depuis l’Institut national des jeunes aveugles. Il mit également au point leur matériel de lecture et s'attacha à promouvoir leur insertion par le travail.

Il fit des études classiques à Paris, où il acquit la pratique du latin, du grec, de l’hébreu et d'une dizaine de langues vivantes : hyper polyglotte.  Il gagna dès lors sa vie en traduisant des documents officiels, notariés, commerciaux ou privés. Membre et professeur du Bureau académique d’écriture en 1781, il devint interprète du roi en 1783 pour l'espagnol, l'italien et le portugais. En 1786, il se prévalait du titre d'Interprète du Roi, de l'Amirauté et de l'Hôtel de Ville. Il était membre du Bureau des Écritures.

Place Beltrame : Arnaud Beltrame, né le 18 avril 1973 à Étampes (Essone) et mort assassiné en service le 24 mars 2018 à Carcassonne (Aude), est un officier supérieur de la gendarmerie française. Il s’est volontairement substitué à un otage au cours de l’attaque terroriste du 23 mars 2018 à Thèbes. Il a succombé aux blessures reçues durant cet événement. Son sacrifice a eu un grand retentissement en France et à l’étranger, et lui a valu un hommage national. La ville de Tours a participé à cet hommage en donnant son nom à la place jouxtant l’église du Christ-roi.

Délibération du Conseil municipal du 4 février 2019 sur proposition de l'Adjoint au Maire, Brice Droineau et Inauguration le dimanche 24 mars 2019.

Sources :

Tours pas à pas : auteur Hélène Vialles – ses rues, ses monuments, ses hommes célèbres.

Le nom des rues de Tours – Geneviève Gascuel (consultation aux archives communales le 01/07/2016)

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