Après l'annonce d'Icade, par presse interposée, de sa décision d'abattre le cèdre séculaire sensé être préservé, nous leur avons envoyé un courrier exprimant notre protestation et indignation. On a beaucoup de mal à croire qu'il aura fallu tout le temps d'étude de ce projet par des professionnels et architectes, de son passage en Mairie pour l'obtention du permis de construire, et de l'épuisement des délais de recours, pour se rendre enfin compte que le cèdre n'était pas, en définitive, compatible avec les contraintes du chantier ! La lettre de réponse d'Icade était abondante en explications avec quelques promesses comme celle de planter un autre cèdre de l'Himalaya. Le doute sur la manière dont ce dossier a été mené n'est pas levé pour autant. C'est un coup de frein au crédit que nous commencions à accorder à ICADE au fil de nos réunions communes. La suite nous dira...